Soutenons les plus défavorisés
Soutenons les plus défavorisés

Soutenons les plus défavorisés

L’association réunionnaise Partage avec Madagascar se mobilise pour aider les villages du père Pedro. Elle organise chaque année une journée pendant laquelle tout le monde peut apporter son soutien.

À Madagascar, sur les hauteurs d’Antananarivo, la cité d’Akamasoa regroupe 22 villages construits à l’initiative du missionnaire argentin, sur l’emplacement d’une immense décharge à ciel ouvert. Dès la fin des années 1980, ces villages ont pour vocation d’accueillir les plus pauvres.

Tous les ans, un dimanche de mi-novembre, l’association Partage avec Madagascar organise une journée pour apporter de l’aide aux habitants de cette cité, et accueille pour l’occasion le père Pedro, ici à la Réunion. Depuis plusieurs années maintenant, j’ai la chance d’y participer. Si je viens apporter mon témoignage, c’est parce que je pense que nous sommes tous capables, chacun à notre manière, de contribuer à aider les autres.

Aider, ce n’est pas une question d’argent, comme on le pense parfois. C’est une question de volonté et de compréhension de la souffrance des autres.

Le repas servi par les bénévoles ce jour-là vous reviendra une vingtaine d’euros. Vingt euros, cela ne va pas nous ruiner ni changer fondamentalement notre vie, et pourtant cette somme permet de faire vivre une famille pendant plusieurs jours. Ce simple repas est synonyme d’épanouissement, d’évolution, d’espoir. Tout le monde est capable de participer à cet élan. C’est mon message d’aujourd’hui. 

Donnons un sens à cette courte existence terrestre, mes ami(e)s. Nous sommes conscients que le matérialisme et l’individualisme ne mènent pas au bonheur véritable, n’est-ce pas ? Alors je vous encourage à pratiquer une activité bénévole. Pas pour vous donner bonne conscience ni pour faire bonne figure, mais parce que vous en avez profondément envie, parce que vous en percevez le sens.

Je rencontre beaucoup de personnes qui s’investissent pour les autres. Comme celles qui s’expriment dans la vidéo ci-dessous, et que je vous invite à visionner. Mais nous avons besoin de tout le monde. Aider, ce n’est pas une question d’argent, comme on le pense parfois. C’est une question de volonté et de compréhension de la souffrance des autres. J’adore l’adage qui dit : « Seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin. » Et dans ce « ensemble », il y a vous, qui me lisez en ce moment.

Pour ma part, je suis admiratif et je m’incline devant ces jeunes que je revois chaque année lors de cette journée. C’est magnifique. Si eux le peuvent, vous aussi le pouvez.

À bientôt.

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